*soupir*
Ça a beau faire cinq ans que
je suis partie explorer de nouveaux horizons, je n’ai toujours pas réussi à me
créer une peau de rhinocéros imparable qui empêcherait tout blues, homesickness
ou autre sentiment dans la même lignée de me rendre visite. Les mots anglais
sont bien meilleurs pour décrire ce sentiment d’ailleurs, j’ai du mal à le
retranscrire en français… Un manque, je suppose. Peut-être de la nostalgie, un
petit bout de spleen (qui pour être Baudelairien n’en est pas moins
anglais !), avec un petit quelque chose de vide. Le tout fonctionnant par
vagues…