Halloween
Avec l’automne et octobre arrive bien évidemment
Halloween. Cette fête dont on n’a jamais vraiment saisi toutes les nuances en
France… Je crois en avoir déjà parlé l’année dernière mais je ne me suis
toujours pas remise des déguisements. Pour moi Halloween c’est sorcières,
monstres, squelettes, fantômes et compagnie. Tout ce qui fait peur, donc. Alors
qu’en réalité ici, Halloween c’est ce que l’on veut. Superhéros, personnages de
BD, de films, rouleau de PQ (non là c’est moi qui fait du mauvais esprit – mais
ça pourrait, hein, ils n’y ont juste pas pensé !) etc. Et quand on est du
sexe féminin et qu’on a entre 20 et 30 ans, il est bien vu de se déguiser (au
moins une année) en lapin playboy (si vous voyez bien, la nuisette rose
transparente, le serre-tête en fourrure rose avec des oreilles de lapin et le
pompon rose sur les fesses, menfin), en infirmière d’un style particulier avec
décolleté pigeonnant et bas résilles, en maîtresse d’école pour petits garçons
pas sages d’une quarantaine d’années, la liste est longue. J’aurais raté mon
rite de passage Halloweenesque, parce que je ne me suis pas encore décidée à
suivre cette tradition. Et sans vouloir dire jamais au grand jamais, je ne suis
pas convaincue que ce jour arrive.