Nous voilà donc le 24 juillet,
et… il pleut. Encore. Et encore. Et encore. Ça fait à peu près 4 jours qu’il
pleut sans discontinuer, et ça devrait continuer pendant encore quelques jours,
alors que la semaine dernière a été tellement chaude et ensoleillé qu’on a tous
pris de sacrés couleurs (voire coups de soleil pour certain(es) que je ne
nommerais pas… et non je ne me vise pas moi-même tout de seule, m’enfin).
J’imagine que c’est pour nous laisser le temps de nous remettre de tout ça,
paf, une petite semaine de pluie, on se rafraîchit les idées, et c’est reparti
pour un tour ! Enfin j’espère parce que si c’est simplement que l’automne
est déjà là, ça promet d’être rigolo. C’est vrai, un été de deux semaines, ça
pourrait être intéressant.
En attendant ça me fait faire
des expériences très intéressantes. Quand le site météo dit « risques
d’averses », ça veut dire qu’il peut faire absolument n’importe quel
temps, grand soleil caniculaire comme seaux d’eau qui se déversent sur nos
têtes, et ce sans transition aucune, ça peut changer en une minute chrono. Voir
les gens patauger dans les mares d’eau en claquettes reste un de mes
passe-temps favoris, j’adore les « squick, squick » des pieds qui
glissent sur le plastique, et quand en plus ils essayent de courir pour se
mettre à l’abri, je ne peux m’empêcher de pouffer de rire. Je ne peux compatir
vu que ma relation avec les claquettes est loin d’être amicale, je les vois
comme des instruments de torture raffinés qui me donnent une démarche fort peu
gracieuse vu que je n’ai toujours pas compris comment marcher avec sans se
râper les doigts de pieds sur le trottoir pour cause de claquette qui
s’accroche au bitume et se retourne sans prévenir…
Le bon côté de ce genre de
météo (qui est très courante pour Demi Chez-Moi, les montagnes environnantes
sont les maîtres suprêmes et décident d’accrocher ce nuage – paf, averse -, de
laisser passer celui-ci – paf, grand ciel bleu et températures élevées -) c’est
que ça change tellement vite que le temps le plus pourri n’empêche pas qu’il y
ait un grand ciel bleu une heure après, au point d’aller se plonger dans la
piscine pour se rafraîchir. Le mauvais côté, c’est qu’on a intérêt à réagir
vite, sous peine de se retrouver avec des seaux d’eau qui nous tombe sur la
tête alors que l’on a à peine franchit l’entrée de ladite piscine…